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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 15:24

Plus familial et moins rupin que Deauville,

on constate une certaine ressemblance dans les architectures avec Cabourg

 

 

 

Nous sommes arrivés ! tout le monde descend ! Bienvenue à vous

 

 

 

Terre plein central très fleuri qui parcourt cette rue dans sa totalité

 

 

 

 

Serait ce le balcon d'où Juliette entendait son Roméo ?

 

 

 

 

Le casino sur le même aspect que le Grand Hôtel et casino  de Cabourg

casino du groupe Lucien Barrière

  

 

 

 

 

Tout compte fait il est plus sobre que celui de Cabourg

 

 

 

Vous avez entendu parler des planches de Deauville, c'est la même chose,

sauf que nous sommes à Trouville,

les planches séparant la plage des magasins et des habitations.

La plage aux romantiques,

il n'y a qu'à regarder ce couple se tenant par la main

 

 

 

Face à la mer, vous pouvez choisir votre appartement,

il y a de la place pour tout le monde 

 

 

 

 Août 1836. Flaubert a quinze ans lors de ces vacances familiales à Trouville. La famille a choisi l’Auberge de l’Agneau d’Or, qui se tient à l’angle du quai et de la rue du Commerce (maintenant rue de Verdun -notre photo).

Les parents de Madame Flaubert possèdent le domaine de Géfosse, près de Pont-l’Evêque et de Saint-Hymer, et Trouville -où la famille a déjà passé l’été 1834- est la plage la plus proche. La route entre Pont-l’Evêque et Trouville reste difficile, et les deux seules auberges de la petite ville sont appréciées par les plaisanciers. Gustave est un renfermé. Car, pour échapper aux malades et aux cadavres qui font son décor quotidien à l’hôpital de Rouen dont son père est chirurgien en chef, comme pour échapper à sa mère qui n’exprime qu’inquiétudes et déceptions à son égard (tout comme Balzac, il n’est pas le rejeton préféré…), il se réfugie en lui-même et auprès de ses amis… et dans la lecture de Don Quichotte. À neuf ans, il se voit déjà auteur dramatique. Au collège, il dévore Hugo et Dumas, qui ont l’âge d’être ses grands frères, Michelet, Shakespeare, Walter Scott, Voltaire, Beaumarchais, Rabelais,… Il écrit des petits récits historiques, il rêve de héros aventuriers et d’héroïnes aimées d’amour profond. Une cape qu’il ramasse un jour de ce mois d’août 1836 sur la plage de Trouville va décider de sa vie.

La propriétaire en est Elisa Schlésinger, vingt-six ans, belle comme une sirène, vivant maritalement avec un prussien et mère d’une petite Marie. Touché ou amusé par le grand et timide prétendant de sa compagne, Maurice Schlésinger l’invite à se joindre à leurs parties de bateau et à leurs promenades, alors qu’Elisa n’est sans doute pas consciente des sentiments qu’elle inspire au jeune homme. La fin de l’été les sépare. On se quitte sans se laisser d’adresse.

En 1838, il termine le récit de cette rencontre : Mémoires d’un fou, sa première oeuvre achevée. Comme pour un pélerinage, il retourne à Trouville lors de l’été 1853. Il loge au-dessus d’un pharmacien, quai Ferdinand Moureux, et à l’hôtel Bellevue.

 

Source : Terresdecrivains.com

 

 

 

 

Pour les "sauvages", cette habitation plus modeste,

plus familiale accueillera famille avec enfants,

donc, moi !!!

quoi ? je suis égoïste ? hé ! vous oubliez les petits jumeaux !!

si ! si ! je fais partie des prioritaires   

 

 

 

 

 

Et il y a aussi des tentes pour tout le monde ! pas de jaloux !

si elles sont trop près, on les éloignera les unes des autres,

tiens pas à entendre mon voisin de tente ronfler !! 

 

 

 

 

Et encore des amoureux, des idylles vont se dessiner cet été,

on dirait que le lieu est propice... 

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